L’épéiste antillaise Marie-Florence Candassamy peut rêver d’or aux JO de Paris
La championne du monde en titre à l'épée garde les pieds sur terre à six semaines du coup d'envoi olympique, à Paris, mais elle peut légitimement rêver d’or.

A six semaines du coup d'envoi olympique, la Fédération française d'escrime organisait ce mardi (11 juin) une journée presse à l'INSEP, alors que l'équipe nationale s'apprête à disputer les championnats d'Europe à Bâle à partir du 18 juin. Le dernier grand rendez-vous avant les Jeux.
Dans l'effectif, on compte de nombreux Antillais, notamment Marie-Florence Candassamy, Martiniquaise par son père et Guadeloupéenne par sa mère.
La championne du monde en titre à l'épée peut légitimement rêver d'or à Paris, même si elle tente de garder les pieds sur terre à un mois et demi de l'échéance olympique. Nicolas Ledain l’a interrogée sur son état d’esprit.
J’ai un bon entourage, plutôt sain. Des amis sympathiques, j’ai des moments à moi. Je pense que c’est très important pour les athlètes. Moi, ça me permet d’avancer et d’être tranquille.
Et à l’entendre, au sein de l’équipe tout va pour le mieux.
C’est une bonne équipe, on se connaît depuis bien longtemps. La cohésion est là. Le partage est là. Et puis on a des moments drôles aussi, ce qui est important. C’est bien d’être sérieux, mais il faut aussi avoir ses petits moments de fun, ce qui va aider pour la suite
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